Il est 4 heures du matin et ça
sonne à la porte. Encore les yeux dans
le sommeil Adrienne ouvre la porte.
C’est Jean, mon ami accompagné de Denise son épouse, qui viennent nous
chercher pour nous conduire à l’aéroport.
Trouvez-en des amis qui se lèvent à 3h30 du matin juste pour vous rendre
service et vous faire plaisir. Y en a
pas beaucoup, mais moi, j’ai la chance de les connaître.
Le départ de notre vol pour Fort
Lauderdale est prévu pour 5h50. Bien
entendu, nous sommes arrivés un peu trop tôt, mais j’en connais une à qui ça
convient parfaitement. Le comptoir
d’enregistrement ouvre ses portes et nous permet de finaliser les formalités
d’usage à l’embarquement, tout en espérant qu’on ne nous tiendra pas rigueur
pour l’excédentaire « masse de fourniture » » foulé par
Adrienne. Pourtant nous avions fait des efforts en diminuant la
dimension des valises. Mais ma douce
moitié a trouvé des sacs où elle peut, après avoir inséré le nécessaire, en
faire le vide ce qui a pour effet d’en réduire considérablement les dimensions
et d’augmenter par le fait même l’espace restant à remplir de ce bagage
roulant.
Tout va bien et nous passons à la
prochaine étape qui nous amène à l’intérieur d’un DH8 pour le PET de Montréal
où nous prendrons une correspondance pour les USA. Première partie tout va bien et nous nous
rendons au quai d’embarquement pour prendre un Airbus 320. On annonce le début de l’embarquement et nous
nous retrouvons à notre place bien assis et les bagages à main bien classés
au-dessus de nos têtes. Une voix
nasillarde d’un commandant de bord avec un fort accent nous annonce que près de
Toronto il y a de très forts vents et que si nous étions capables de partir le
plus tôt possible ce serait pour le mieux.
On a tout de suite été mis en confiance et tout allait bien (surtout
qu’Adrienne n’avait pas compris ce que venait de dire ce fin psychologue). Par contre je dois dire qu’il a admirablement
bien géré la situation. Après un bon
détour qui augmenta le parcours de 40 minutes, le vol s’est, tout compte fait,
très bien passé. À peine posé sur la piste de l’aéroport de Fort Lauderdale notre
cher commandant récidive en nous annonçant un beau 26 degrés. Parfois il faut être patient pour avoir notre
récompense…
On dirait qu'il y a des sentiers de VTT même en Floride.... Qu'en penses-tu Danny?
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RépondreSupprimerBon voyage et surveille tante Adrienne pour pas qu'il quitte trop d'endroit sans payer !!! Bizou
RépondreSupprimerJulie & Dominic