samedi 17 mars 2018

Nous voilà ...



Lundi 12 mars, à deux heures du matin, le réveil se fait entendre pour nous ramener à la dure réalité d’un départ éminent pour une nouvelle croisière.  Cette dernière débutera à Hong Kong pour nous amener jusqu’au Japon en passant par la Chine, Taïwan et les Philippines.  Je ne sais pas si vous le savez mais, Hong Kong c’est loin en titi.  Nous avons pris un vol de Québec vers Toronto. De là, nous sommes montés à bord d’un 777 de Boeing vers notre destination finale.  Nous sommes partis à 10h30, le 12 mars pour arriver à Hong Kong le 14 mars à 15h40.  Non, non nous ne sommes pas restés dans les airs pendant tout ce temps car, il faut tenir compte du décalage horaire, mais nous avons quand même survolé notre planète pendant quinze heures, avant d’y remettre pied.  Je ne veux pas me plaindre, mais je peux vous assurer que la ressemblance de votre humble serviteur et de sa photo de passeport, était remarquable. 
 
Jeudi le 15 mars, nous passons la journée entière à quai avant d’entreprendre notre périple vers les Philippines.  Hong Kong cache ses gratte-ciels sous un brouillard accompagné de sa pollution quotidienne.  Un temps   maussade, gris et sans intérêt qui nous maintient à bord.  Pour ma part j’essaie de me connecter pour rafraîchir un site internet et je me bute à une résistance sans borne qui m’oblige à tout arrêter pour ne pas endetter à tout jamais mon association.  J’essaierai probablement, plus tard en présence d’une meilleure connexion….  De toute façon, nous n’aurions pas pu aller très loin car, nous devons rencontrer les autorités douanières en après-midi.  De plus, nous devons participer à l’exercice d’évacuation en cas d’urgence avant le départ officiel prévu pour dix-huit heures.   

Demain, nous serons en mer pour nous diriger vers « Manille aux Philippines » notre première escale.  On nous annonce une température plus clémente qu’à la maison, ce qui élimine tous regrets de ne pas être avec vous dans la « blanche neige » qui, par conséquent, vous donnera des souvenirs presqu’inoubliables.  Certains et même certaines doivent se dire : « Y-a-ti fini de nous niaiser et s’il n’a rien à dire ou à écrire, bien qu’il en profite donc pour se taire ».  Mille excuses!  Je croyais que nous pouvions exprimer toute notre compassion pour vous.  Blague à part, nous avons bien compris le message et je vous assure que les prochains textes seront plus descriptifs de notre voyage.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire