Lundi
12 mars, à deux heures du matin, le réveil se fait entendre pour nous ramener à
la dure réalité d’un départ éminent pour une nouvelle croisière. Cette dernière débutera à Hong Kong pour nous
amener jusqu’au Japon en passant par la Chine, Taïwan et les Philippines. Je ne sais pas si vous le savez mais, Hong
Kong c’est loin en titi. Nous avons pris
un vol de Québec vers Toronto. De là, nous sommes montés à bord d’un 777 de
Boeing vers notre destination finale.
Nous sommes partis à 10h30, le 12 mars pour arriver à Hong Kong le 14
mars à 15h40. Non, non nous ne sommes
pas restés dans les airs pendant tout ce temps car, il faut tenir compte du
décalage horaire, mais nous avons quand même survolé notre planète pendant
quinze heures, avant d’y remettre pied.
Je ne veux pas me plaindre, mais je peux vous assurer que la
ressemblance de votre humble serviteur et de sa photo de passeport, était
remarquable.
Jeudi
le 15 mars, nous passons la journée entière à quai avant d’entreprendre notre
périple vers les Philippines. Hong Kong cache
ses gratte-ciels sous un brouillard accompagné de sa pollution
quotidienne. Un temps maussade, gris et sans intérêt qui nous
maintient à bord. Pour ma part j’essaie
de me connecter pour rafraîchir un site internet et je me bute à une résistance
sans borne qui m’oblige à tout arrêter pour ne pas endetter à tout jamais mon
association. J’essaierai probablement,
plus tard en présence d’une meilleure connexion…. De toute façon, nous n’aurions pas pu aller
très loin car, nous devons rencontrer les autorités douanières en
après-midi. De plus, nous devons
participer à l’exercice d’évacuation en cas d’urgence avant le départ officiel prévu
pour dix-huit heures.
Demain,
nous serons en mer pour nous diriger vers « Manille aux Philippines »
notre première escale. On nous annonce
une température plus clémente qu’à la maison, ce qui élimine tous regrets de ne
pas être avec vous dans la « blanche neige » qui, par conséquent,
vous donnera des souvenirs presqu’inoubliables.
Certains et même certaines doivent se dire : « Y-a-ti fini de
nous niaiser et s’il n’a rien à dire ou à écrire, bien qu’il en profite donc
pour se taire ». Mille
excuses! Je croyais que nous pouvions
exprimer toute notre compassion pour vous.
Blague à part, nous avons bien compris le message et je vous assure que
les prochains textes seront plus descriptifs de notre voyage.
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