mardi 6 décembre 2011

Enfin sur le bateau... (publié le 1 mars 2011)

Mardi 1 mars 2011 2 01 /03 /Mars /2011

00:39
Enfin sur le bateau...



Enfin sur le bateau….  C’est bien sur la terre ferme, mais nous sommes venus pour faire une croisière et non une croisade.  Après toutes les formalités d’usage soit : la présentation du passeport, l’enquête sur notre bilan de santé physique (une chance qu’il ne fallait pas produire un bilan de santé mentale…), la prise de photos traditionnelle; nous foulons enfin le pont qui nous amène à notre cabine.  Surprise il y a plus de commodités dans la cabine que dans la chambre d’hôtel que nous venons de quitter.  Pas surprenant, ici c’est la vie des gens riches et célèbres.

Le départ officiel d’Auckland est prévu pour 11h59??????   Auparavant nous devons prendre possession des lieux et jamais je ne pouvais m’imaginer qu’une valise pouvait contenir autant de linge et de « cossins ».  Mais Adrienne classe le tout avec sérénité bientôt ce sera à mon tour.

Après un certain temps (ainsi on laisse le loisir au lecteur de mettre le nombre de minutes ou d’heures qu’il désire) nous sommes fiers et on se sent vraiment chez-soi.  Nous nous engageons donc à faire le tour du propriétaire, histoire de s’orienter un peu ou de se retrouver éventuellement.  Il faut que je vous laisse car il y a un exercice au cas où un iceberg décidait de nous embrasser (il faut savoir quoi faire dans une telle éventualité et puis ça ne nous tente pas que Céline vienne chanter dans un documentaire ou un chef d’œuvre commémorant cet événement).  Le capitaine nous rassure en nous disant qu’il y a suffisamment de chaloupe de sauvetage pour plus de 3000 personnes.  Sachant qu’il n’y a pas plus de 2200 personnes comprenant les membres d’équipage. Bla bla bla bla bla bla….  Et tout à coup une pensée me traverse l’esprit en regardant autour de moi : une chance que ces embarcations sont motorisées maintenant, et qu’il n’est plus nécessaire de mettre à contribution les passagers pour ramer, car il y aurait probablement de l’essoufflement dans l’air.

Je vous laisse, car nous devons nous préparer pour le souper et on n’a que 2 heures devant nous.

À la prochaine.

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